Avec l’irrégularité et la baisse de la pluviométrie, on observe le recul de certaines cultures vivrières comme le mil. Pour faire face, certains paysans s’orientent vers l’exhaure et le maraîchage. Celui ci apparaît comme une stratégie d’adaptation, mais le manque de technicité et la difficulté d’écoulement de la production remettent en question le dynamisme de cette filière.